Multimedia designer in Paris since the late 90s, Nicolas Choureau-Kikoïne said Kiko Shuro, now focuses on a plastic creation at the intersection of surrealism and science fiction.

Recycling computer remains, he first created his "fragments of ArcheoFutur" before dedicated himself to metal work, scrap steel in particular.

Inspired by both religious, primitive arts and by the horizon of a transhumanist future, Kiko Shuro offers his vision of body biomechanics and wonder what will be the sacred objects of tomorrow.

Issu des métiers de l'image, designer multimédia à Paris depuis la fin des années 90, Nicolas Choureau-Kikoïne dit Kiko Shuro, se consacre aujourd'hui à une création plastique à la croisée du surréalisme et de la science-fiction.

C'est d'abord en recyclant des vestiges informatiques qu'il crée ses "premiers fragments de l'ArchéoFutur", avant de privilégier le travail du métal, et de l'acier de récupération en particulier.

Inspiré tant par les arts religieux ou primitifs, que de l'horizon d'un avenir transhumaniste, Kiko Shuro propose son esthétique du corps biomécanique et s'interroge sur ce que seront les objets sacrés de l'hybride homme-machine.

90年代後半からパリでマルチメディアデザイナーをしているニコラ・シュロ・キコインは画像に関する業界で成長してきましたが、現在はサイエンスフィクションとシュルレアリスムを交差する彫刻にその才能を捧げます。

最初はコンピュータの痕跡をリサイクルして「アルケオ・フューチャーの最初の欠片」を創り、その後金属、特にスクラップの鋼の方へ向いてきました。そのインスピレーションは宗教美術・原始美術でも、トランスヒューマニズムに染まった未来の寸前でもあります。

その共生を基にして、キコ・シュロは自分が感じる性体力のエステティックを提案しながら、人造人間が敬う神聖なるモノはどんなモノだろうか、と伺います。